Projet “A Travers L’Objectif”

 Construction d'un Puits d'Eau Potable au Ghana, Afrique de l'Oest

“A Travers L’Objectif” est un projet á buts non lucratifs ; il a pour unique objectif l’aide humanitaire d’une communauté Africaine, qui se trouve être localisée au sud du Ghana, en Afrique Occidentale.

“A Travers L’Objectif” est parvenu à réaliser l'Exposition Photographique "Sourire, s’Amuser et Croire", ayant pour objectif de sensibiliser la population française et européenne (car le projet et franco-portugais, de plus l’exposition s’est déjà déroulée en Espagne, au Portugal, au Estonie et prévoit d’avoir lieu en France) pour le problématique économique, social, sanitaire et culturel de le pays en voie de développement comme le Ghana.

A travers cet évènement, le publique a l´opportunité de contribuer à l’aide et à l’amélioration des conditions de vie d’un peuple qui, même sous le poids de la pauvreté, ne cesse pas de sourire.

Les fonds réunis (par la vente de photographies et/ou par simples dons) sont destinés à la construction d’un puits d’eau potable dans la communauté d’Abrafo, ceci étant réellement nécessaire et urgent dans les pays en voie de développement et, en particulier, dans les communautés rurales comme Abrafo.

"A travers l’objectif" est le premier projet de l’Association "Pé No Mundo". Nous savons que d’ici peu, beaucoup de projet vont suivre et nous sommes ouverts à toutes idées nouvelles et principalement à toutes personnes ayant la VOLONTÉ de contribuer à un monde meilleur pour tous. 

LA Communauté D’ABRAFO

Abrafo est l’une des nombreuses communautés rurales pauvres et vulnérables du Ghana oùl es questions de santé et de subsistances dépendantes du recours à l’eau, sont critiques. Le manque d’accès à l’eau potable et ´à l’hygiène sanitaire des communautés rurales et la cause fréquente de maladie et de mort.

Abrafo est une communauté de 6000 personnes, qui vit majoritairement de l’agriculture. Ceci est une activité entièrement dépendante de l’eau, elle représente 88% del a totalité de l’eau extraite par l’homme.

D’où un grand manque d’eau dans le pays, la communauté d’Abrafo reste autonome dans l’agriculture grâce á l’utilisation d’eaux résiduelles non traitées. Même si en 1995, les autorités Ghanéennes ont interdit l’utilisation de ces eaux pour l’irrigation, les agriculteurs continuent á l’utiliser car il n’existe aucune autre alternative.   

Le plus grand risque d’irrigation avec des eaux résiduelles est l’impacte négatif sur la santé publique. Ces eaux contiennent des métaux lourds et des micro-organismes pathogéniques.

Il existe une grande préoccupation due á la contamination des cultures par ces micro-organismes pathogéniques comme les bactéries Escherichia coli et Helmintosqui causent la dysenterie est la diarrhée. 

Enfants en train de peler le maïs. Communauté d’Abrafo, Ghana, 2005.

LA PROBLÉMATIQUES DES EAUX CONTAMINÉES

Rien qu’en 2000, 1,3 millions d’enfants de moins de cinq ans sont mort, à cause des problèmes de diarrhée causés par l’eau malsaine et les mauvaises conditions sanitaires.

Environ 60% de la mortalité infantile mondiale est causée par les maladies infectieuses et parasitaires, celles-ci sont pour la majorité relative à l’eau.  

Les maladies transmissives par l’eau incluent entre autres : le choléra, la fièvre typhoïde, la shigella, la poliomyélite, la méningite, les hépatites A et E et la diarrhée.  

Ces maladies avancent sans arrêt à travers le monde. Mais elles peuvent être facilement contrôlées avec une meilleure hygiène, pour laquelle il est indispensable la disponibilité adéquate à l’eau potable.

^{‘Sister Ya’  à préparer le ‘fufu’. Communauté d’Abrafo, Ghana, 2005.} 

BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR

Ana Catarina Santos, diplômée en Biologie, est née á Lisbonne en 1981 ; en 2004/2005 elle a voyagé en Afrique où elle à vécu dans une communauté Ghanéenne, Abrafo. Son objectif était  la récolte d’informations sur les Eléphants de la Forêt Africaine, afin d’effectuer sa thèse Universitaire.

Sa rencontre avec ces grands mammifères était quelque chose qu’elle attendait depuis longtemps, mais elle n’aurait jamais pu imaginer que cette passion se transformerait en une autre, celle du peuple Africain. Partager la vie quotidienne de ce peuple, à changé sa façon de voire et d’être dans la vie.

Elle a quitté le Ghana avec beaucoup de peine et une forte envie d’y retourner pour y faire quelque chose qui pourrait aider cette communauté qui l’a si bien accueilli. Ainsi naquît l’idée de créer une exposition photographique sur Abrafo, ayant pour objectif de réunir les fonds nécessaires á la construction d’un puit d’eau potable, au sein de cette communauté. 

Ana Catarina Santos et Dina Gyampo (Mabeena). Communauté d’Abrafo, Ghana, 2005.